"Le talent, ça n'existe pas. Le talent, c'est d'avoir envie de faire quelque chose."
Jacques Brel
Vous l'aurez compris par cette citation, "le talent" est avant tout un processus mélé d'envie, de réflexion, d'expérimentation, de persévérance et de patience.
Voici quelques conseils supplémentaires qui peuvent vous aider :
- Apprenez à vous connaître. Prenez le temps de réfléchir à votre personnalité, à vos valeurs et à vos objectifs.
- Développez votre confiance en vous. Ayez confiance en vos capacités et en vos talents.
- Développez un état d'esprit optimiste et actif. Ayez une vision optimiste de votre avenir et de vos possibilités. On marche moins bien quand on pense sans cesse à la douleur de la chute.
Des vacances, pas si reposantes que ça ?
Une récente étude IFOP menée pour le blog “Voyage avec nous” auprès de 1 099 personnes en couple révèle des écarts édifiants dans la répartition des tâches liées aux vacances.
François Klaus, le directeur du pôle « Genre et sexualités » à l’IFOP affirme : « Il apparaît clairement que les femmes ne sont jamais autant en vacances que les hommes durant cette période".
Du coup, sur place on ne profite pas pleinement du lieu, des activités, des moments en famille, on dort mal, on est tendu(e)s...ces écarts auraient même conduit 42% des répondants à se disputer avec leur moitié à cause d’un sujet lié à l’organisation des vacances !
Une fois sur place, on l'a toutes et tous vécue : cette sensation que les vacances sont trop courtes et qu'il nous faut des jours voir une semaine avant de pouvoir chasser les soucis du quotidien, mieux dormir, ne plus s’énerver ou se disputer pour un rien.
Notre esprit est comme une valise : pour le remplir de jolies choses, il faut le vider d'abord.
La sophrologie permet d'apprendre à vider le trop plein de stress : des techniques simples pour évacuer des tensions, prendre de la distance face aux imprévus et se détendre profondément, pour mieux récupérer, se régénérer et être mieux avec soi et avec les autres !
La sophrologie, ou comment prolonger les bienfaits des vacances
Autant d'outils qui seront aussi profitables pour reprendre le rythme de la vie quotidienne avec plus de sérénité.
Les adultes ont parfois plus de mal que les enfants à reconnaître « qu’ils ne savent pas » quelque chose, surtout dans les domaines où ils s’imaginent que le savoir est inné, que tout le monde devrait savoir faire, sans pour autant n’avoir jamais rien appris à ce sujet (communiquer, ou écouter par exemple).
Certaines personnes, lorsqu'elles reconnaissent qu’elles ne savent pas faire quelque chose, se trouvent directement entravées, freinées par un sentiment de honte, une autocritique du genre : "si je ne sais pas, c'est que je suis nul(le)".
Or, il est évident que l'on ne peut tout savoir n'est-ce pas ? On ne devrait pas se sentir gèné(e)s !
Ce qui peut sembler être une question simple de prime abord, ne l'est pas tant que ça : a-t-on vraiment conscience de ce que l’on sait et de ce que l’on ne sait pas ? Comment faire la différence entre ce que l'on ne "sait vraiment pas faire" et ce que l'on a "jamais appris à faire" ?
ET SI JE SUIS PERFECTIONNISTE ALORS ?
Certaines personnes manquent parfois de patience envers elles-mêmes et se refusent le droit à l'erreur, à la maladresse, à l'échec. C'est un niveau d'exigence élevé qui les empêche surtout de se lancer...
Si c'est votre cas, est-ce que la phrase : " Tu monteras sur un vélo quand tu sauras en faire ! " vous semble logique ?
À moi non plus.
Alors autorisez-vous à tester de nouvelles choses, quitte à les louper ou à vous sentir maladroit(e) : 0 JUGEMENT, VOUS ÊTES DÉJÀ EN TRAIN DE PROGRESSER !
Le secret ne réside pas tant dans la durée de la pause que dans le fait d'en faire plusieurs par jour pour éviter l'épuisement.
Notre corps, notre tête ne sont pas faits pour travailler non stop : pour être réellement performant il faut réapprendre à faire cette pause pour déconnecter le mental, se reconnecter au corps et éviter la surcharge. Une des façons les plus simple d'y arriver est de faire des pauses régulières qui permettent à notre corps et à notre tête de ne pas atteindre la zone critique, de se reposer, de se recharger.
La micro-pause
Plusieurs fois par jour, prendre quelques secondes, une minute ou deux pour s'asseoir, fermer les yeux, respirer profondément, relâcher la mâchoire, laisser retomber les épaules, penser au contact des pieds avec le sol et suivre sa respiration…avant de souffler d'un coup, de se frotter les mains et de rouvrir les yeux.
Pourquoi il faut faire une pause AVANT d'être fatigué(e)
L'énergie remontera beaucoup plus rapidement et durera plus longtemps.
Mettez-vous des rappels : sur le téléphone via une sonnerie ou une appli, un pop up sur l’écran ou un petit mot écrit sur votre bureau...soyez créatif(ve) pour trouver quelque chose qui, toutes les deux heures, vous fera penser à prendre cette pause.
Douuuuucement
Choisissez une tâche par jour que vous ferez plus lentement.
Il ne s'agit pas de passer du 200 à l'heure à 2 à l'heure mais à chercher un rythme confortable, de ralentir le pas. Voyez ce qui se passe de positif : êtes vous plus détendu(e), plus concentré(e), plus efficace ?
Vous pourrez par la suite appliquer ce rythme à une demi-journée par semaine, où vous ferez les choses à un rythme plus relâché voire même une journée complète si vous sentez que ça vous convient !
La (vraie) pause hebdomadaire
Au moins 1 jour par semaine, se poser vraiment, se reposer, sans téléphone, sans ordi, sans travail, sans obligation d'aucune sorte, en ne prévoyant rien et en se laissant porter.
Vous craignez l'ennui ? Ou d'être tenté(e) de travailler ?
Préparez cette journée bien en amont (pas le matin même !) : laissez à votre disposition des choses agréables, reposantes pour vous, qui ne représentent ni objectif, ni contrainte particulière (non, vous n'avez pas absolument besoin de finir ce livre aujourd'hui !), juste du plaisir, du repos.